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dimanche 1 oct 2023
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La gendarmerie des Vosges veille sur nos amis les bêtes

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animauxLes adopter, c’est les aimer

Nombreux sont les vosgiens qui possèdent un animal de compagnie. Si vous en prenez soin et lui apportez tout ce dont il a besoin, ce n’est malheureusement pas toujours le cas.

En effet, adopter un compagnon à 2 ou 4 pattes 🐕 , à poils ou à plumes 🐦 , ou même un « NAC » (Nouvel Animal de Compagnie) 🐢 , vous engage :
Vous devez lui fournir une alimentation adaptée et en quantité suffisante, un abri digne de ce nom ainsi que l’ensemble des soins nécessaires.

Pour les propriétaires qui se montreraient négligents ou pire, maltraitants envers leurs animaux, la gendarmerie des Vosges rappelle que des sanctions sévères sont prévues par la loi.

Un animal ne pleure pas… il souffre en silence ! 😢

animauxLes adopter, c’est les aimer Nombreux sont les vosgiens qui possèdent un animal de compagnie. Si vous en prenez soin et lui apportez tout ce dont il a besoin, ce n’est malheureusement pas toujours le cas.
En effet, adopter un compagnon à 2 ou 4 pattes 🐕 , à poils ou à plumes 🐦 , ou même un « NAC » (Nouvel Animal de Compagnie) 🐢 , vous engage : Vous devez lui fournir une alimentation adaptée et en quantité suffisante, un abri digne de ce nom ainsi que l’ensemble des soins nécessaires. Pour les propriétaires qui se montreraient négligents ou pire, maltraitants envers leurs animaux, la gendarmerie des Vosges rappelle que des sanctions sévères sont prévues par la loi. Un animal ne pleure pas… il souffre en silence ! 😢



Une réaction sur “La gendarmerie des Vosges veille sur nos amis les bêtes

  1. Marceluc

    Enfin, il semblerait que l’on s’oriente vers du concret pour faire la guerre à la souffrance de ces animaux de compagnie !!!. Est-ce suffisamment réfléchi? Alors, serait-il bon bon de prendre le problème à la source et obliger un engagement réel à tout acheteur d’animal de compagnie dans ces magasins de vente ou ailleurs…, et élaborer un examen de bonne adoption pour une entière connaissance du temps et du cout que représente cette adoption. Certains adoptent un animal sans connaissance subséquente. Mais comme toujours, malheureusement, on traite le problème quand le vers est dans le fruit. Il se vend en masse ces animaux, comme on achète un kg de sucre en épicerie, puis se retrouvent quelques temps plus tard en chenils pour adoption ou euthanasie, semble-t-il hélas. Faudra-t-il la création de gilets « pourpres » pour faire valoir cette cause et pour un grand débat? Bien entendu, tout ceci n’est pas le fait de nos gendarmes qui ne font que répondre à un contrôle d’une réglementation parfois idiote et obsolète.

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