Elle tourne depuis un moment sur internet. La proposition de référendum d’initiative partagée sur le bien-être animal, plus communément appelée « Référendum pour les animaux » est un texte de défense des animaux dans lequel figure six mesures.
Lancée en France le 2 juillet 2020, il s’agit du deuxième projet de « référendum d’initiative partagée » après l’échec de celui sur les aéroports de Paris. La proposition provient de trois chefs d’entreprises, Xavier Niel, Marc Simoncini et Jacques-Antoine Granjon, associés au journaliste Hugo Clément. Elle a reçu soutien de 57 associations de défense des animaux et de l’environnement dont L214, Sea Shepherd, la Société protectrice des animaux, la Ligue pour la protection des oiseaux, la Fondation Brigitte-Bardot et l’Association pour la protection des animaux sauvages. De nombreuses personnalités médiatiques ont apporté leur soutien à l’initiative, parmi lesquelles Valérie Damidot, Cauet, Julien Courbet, Yann Artus-Bertrand, Nicolas Hulot, ou Alessandra Sublet.
Le texte propose les mesures suivantes :
– la sortie de l’élevage intensif (accès à l’extérieur obligatoire pour toute nouvelle exploitation, interdiction totale de l’élevage en bâtiment fermé sans accès à l’extérieur en 2040) ;
– l’interdiction de l’élevage en cages (à l’horizon 2025) ;
– la fin de l’élevage pour la fourrure (à l’horizon 2025) ;
– l’interdiction de la chasse à courre, du déterrage et des chasses dites « traditionnelles » telles que la chasse à la glu ;
– l’interdiction des expérimentations sur les animaux si une alternative est possible ;
– l’interdiction de l’utilisation d’animaux sauvages dans les spectacles de cirques ou de parcs.
Elle tourne depuis un moment sur internet. La proposition de référendum d'initiative partagée sur le bien-être animal, plus communément appelée « Référendum pour les animaux » est un texte de défense des animaux dans lequel figure six mesures.
Lancée en France le 2 juillet 2020, il s'agit du deuxième projet de « référendum d'initiative partagée » après l'échec de celui sur les aéroports de Paris. La proposition provient de trois chefs d'entreprises, Xavier Niel, Marc Simoncini et Jacques-Antoine Granjon, associés au journaliste Hugo Clément. Elle a reçu soutien de 57 associations de défense des animaux et de l'environnement dont L214, Sea Shepherd, la Société protectrice des animaux, la Ligue pour la protection des oiseaux, la Fondation Brigitte-Bardot et l'Association pour la protection des animaux sauvages. De nombreuses personnalités médiatiques ont apporté leur soutien à l’initiative, parmi lesquelles Valérie Damidot, Cauet, Julien Courbet, Yann Artus-Bertrand, Nicolas Hulot, ou Alessandra Sublet.
Le texte propose les mesures suivantes :
- la sortie de l'élevage intensif (accès à l'extérieur obligatoire pour toute nouvelle exploitation, interdiction totale de l'élevage en bâtiment fermé sans accès à l’extérieur en 2040) ;
- l'interdiction de l'élevage en cages (à l'horizon 2025) ;
- la fin de l'élevage pour la fourrure (à l'horizon 2025) ;
- l'interdiction de la chasse à courre, du déterrage et des chasses dites « traditionnelles » telles que la chasse à la glu ;
- l'interdiction des expérimentations sur les animaux si une alternative est possible ;
- l'interdiction de l'utilisation d'animaux sauvages dans les spectacles de cirques ou de parcs.
Plus d’infos ici : Référendum pour les Animaux (referendumpourlesanimaux.fr)
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Des mesures de bien traitance et d humanité que toute société civilisée digne de ce nom devrait être capable de mettre en œuvre.
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