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mardi 28 nov 2023
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Saint-Maurice : connaissez-vous le sens du gentilé « Fremis » ?

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Photo de la Mairie de Saint-Maurice

Les services techniques de Saint-Maurice-sur-Moselle viennent de poser un pupitre devant la statue de fourmi avec une plaque expliquant le gentilé des habitants de la commune. Ce sont les « Bussenets », habitants de Bussang, qui ont donné le surnom de « Fremis » ou « Fourmis ». Voici comment :

Les Bussenets, très pieux, venaient le dimanche à Saint Maurice sur Moselle non seulement pour y entendre la messe, mais aussi les vêpres : le trajet étant assez long, ils emportaient leur repas de midi dans un pot de camp (récipient en fer blanc muni d’une anse). Ce repas se composait le plus souvent de « pelet » (bouillie de millet) dont, parait-il, ils étaient très friands. La messe entendue, ils allaient consommer leurs provisions sur l’herbe à mi-côte du Mont, mais le terrain était rempli de fourmilières qui manifestaient leur existence de façon plutôt désagréable. C’est ainsi qu’ils avaient pris l’habitude de dire : nous allons voir les fremis (fourmis en patois). »

(Source : Mairie de Saint-Maurice)

245180923_4670266489661579_8110511504570031734_n Photo de la Mairie de Saint-Maurice

Les services techniques de Saint-Maurice-sur-Moselle viennent de poser un pupitre devant la statue de fourmi avec une plaque expliquant le gentilé des habitants de la commune. Ce sont les « Bussenets », habitants de Bussang, qui ont donné le surnom de "Fremis" ou "Fourmis". Voici comment :

Les Bussenets, très pieux, venaient le dimanche à Saint Maurice sur Moselle non seulement pour y entendre la messe, mais aussi les vêpres : le trajet étant assez long, ils emportaient leur repas de midi dans un pot de camp (récipient en fer blanc muni d'une anse). Ce repas se composait le plus souvent de "pelet" (bouillie de millet) dont, parait-il, ils étaient très friands. La messe entendue, ils allaient consommer leurs provisions sur l'herbe à mi-côte du Mont, mais le terrain était rempli de fourmilières qui manifestaient leur existence de façon plutôt désagréable. C'est ainsi qu'ils avaient pris l'habitude de dire : nous allons voir les fremis (fourmis en patois)." (Source : Mairie de Saint-Maurice)



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