Le Général de Gaulle nous a quitté le 9 novembre 1970. Ce mardi marquait ainsi le 51ème anniversaire de sa disparition. Pour rendre hommage à ce grand personnage de l’Histoire de France, un rassemblement a eu lieu ce soir au monument aux morts du cimetière de Remiremont.
« Toutes et tous, nous sommes conscients de l’importance de ses actions, de la force de ses convictions, de son engagement de tous les instants pour son pays et de la portée de son message », affirme François Vannson, président du Conseil Départemental des Vosges. « Nous ne pouvons que lui en être reconnaissants ». Une gerbe a été déposée au devant le monument aux morts. La marseillaise a été entonnée en mémoire du chef de la France Libre et du président de la République. Ce dernier reste une référence pour le pays, aujourd’hui encore. « Beaucoup s’en revendiquent » , affirme le maire Jean Benoît Tisserand, mais personne ne peut aujourd’hui se comparer à lui. Le général De Gaulle, « c’était d’abord la grandeur de la France ». Une France « indépendante », et non « inféodée » à des puissances étrangères. François Vannson a fait le récit de l’annonce du décès du général, et a brièvement évoqué sa conception de l’État et son idée de la France. « Il avait voulu des obsèques à son image, d’une extrême simplicité (…) C’est la France entière qui prit le deuil ». Le militaire et chef d’État a « toujours cru en la France ». « Le lègue de De Gaulle est un lègue immense ».
Le Général de Gaulle nous a quitté le 9 novembre 1970. Ce mardi marquait ainsi le 51ème anniversaire de sa disparition. Pour rendre hommage à ce grand personnage de l’Histoire de France, un rassemblement a eu lieu ce soir au monument aux morts du cimetière de Remiremont.
« Toutes et tous, nous sommes conscients de l'importance de ses actions, de la force de ses convictions, de son engagement de tous les instants pour son pays et de la portée de son message », affirme François Vannson, président du Conseil Départemental des Vosges. « Nous ne pouvons que lui en être reconnaissants ». Une gerbe a été déposée au devant le monument aux morts. La marseillaise a été entonnée en mémoire du chef de la France Libre et du président de la République. Ce dernier reste une référence pour le pays, aujourd’hui encore. « Beaucoup s’en revendiquent » , affirme le maire Jean Benoît Tisserand, mais personne ne peut aujourd’hui se comparer à lui. Le général De Gaulle, « c’était d’abord la grandeur de la France ». Une France « indépendante », et non « inféodée » à des puissances étrangères. François Vannson a fait le récit de l’annonce du décès du général, et a brièvement évoqué sa conception de l’État et son idée de la France. « Il avait voulu des obsèques à son image, d’une extrême simplicité (…) C’est la France entière qui prit le deuil ». Le militaire et chef d’État a « toujours cru en la France ». « Le lègue de De Gaulle est un lègue immense ».
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Pour rendre hommage à ce grand homme décédé depuis 50 ans
Faudra t’il porter le masque ?
Il ne risque plus rien, tout de même.