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vendredi 24 mar 2023
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Vosges : contre les dérives du protocole sanitaire, les « Parents en colère » ne désarment pas Ils sont allés jusqu’à Bruxelles pour se faire entendre

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Voilà plusieurs mois qu’ils se mobilisent et alertent sur les dérives du protocole sanitaire imposé aux enfants. Et ils n’ont pas l’intention de lâcher l’affaire ! Plus que jamais mobilisés, les « Parents en colère » des Vosges s’organisent, effectuent des tractages, collectent des témoignages. Ils sont allés jusqu’à Bruxelles, le week-end dernier, pour se faire entendre. 

Devant les écoles, les collèges, les lycées, ou à proximité des « vaccibus », les membres du collectif vont à la rencontre des parents et des citoyens en général. « Pour échanger », affirme Liliane Thomas, membre du groupe « Parents en colère » des Vosges. Ouvrir le dialogue sur la politique imposée au pays dans le cadre de la crise de la Covid-19. Parfois, ils sont bien accueillis, parfois moins. En tous les cas, ils cherchent à amener la discussion. Devant les établissements scolaires, ces séances de tractage sont l’occasion de proposer un questionnaire, pour connaître le point de vue de chacun sur la situation et récolter des témoignages. « Les parents, ils n’en peuvent plus avec toutes ces mesures », explique Liliane Thomas. « C’est compliqué à gérer ». Parmi les problèmes les plus fréquemment évoqués, liés au port du masque : « Des maux de tête, des difficultés respiratoires ». Vertiges aussi, étourdissements, manque d’oxygénation, troubles de la concentration. Puis il y a l’aspect psychologique, la tristesse, des crises d’angoisse.

Des enfants respirant pendant des heures, jour après jour, dans un masque. Une ambiance de travail anxiogène. Une institution scolaire relai de propagande. Des punitions injustifiées. Des tests épidémiologiques à répétition. Voilà ce que dénoncent des parents d’élèves du département comme du reste de la France. Avec le fameux « Pass sanitaire », devenu « Pass vaccinal », il s’agit bien d’une autre face de la politique gouvernementale vivement contestée. Le port du masque est parfois imposé jusque dans la pratique sportive. « C’est inadmissible », estime Liliane Thomas. « Les enfants sont vraiment en danger ». Les effets du masque concernent la santé physique, mais aussi l’enseignement. « Au niveau de la diction, de l’apprentissage, il y aura beaucoup de séquelles ».

Si l’école est le cœur de leur combat, les membres du collectif évoquent aussi la question de la vaccination, du libre choix des personnes, et notamment des possibles effets secondaires. « Il y a une recrudescence d’AVC », affirme la référente du collectif de parents. « C’est terrible ce qui se passe ». Essayer d’ouvrir une discussion entre parents sur la vaccination des enfants est l’un des objectifs du groupe. Le message est le suivant : « Parents, soyez prudents, tout va trop vite », lit-on sur un tract. « Les enfants ne sont pas une population à risque ». Ou encore, « Vacciner les enfants, c’est accepter potentiellement de les mettre en danger, alors qu’ils n’avaient aucun risque de mourir ou de souffrir gravement du coronavirus ».

Le collectif s’intéresse aussi à l’accès aux soins pour les personnes qui n’ont pas de « Pass », notamment à l’hôpital. Il met en lumière la discrimination entre les vaccinés et les non vaccinés. « On n’a plus de compassion », affirme Liliane Thomas, qui constate « l’inhumanité dans laquelle on est rentré ». Une ambiance malsaine dans la société, où l’on accepte des restrictions inédites, où chacun se croit autorisé à mépriser, à moquer, à faire preuve parfois d’une grande agressivité et d’une intolérance inouïe. « Elle est où la liberté ? », interroge Liliane Thomas. Et où est la réflexion ? « Éteignez vos téléviseurs et allumez vos cerveaux ».

Quelques photos des rassemblements de « Parents en colère », et notamment à Bruxelles : 

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Voilà plusieurs mois qu’ils se mobilisent et alertent sur les dérives du protocole sanitaire imposé aux enfants. Et ils n’ont pas l’intention de lâcher l’affaire ! Plus que jamais mobilisés, les « Parents en colère » des Vosges s’organisent, effectuent des tractages, collectent des témoignages. Ils sont allés jusqu’à Bruxelles, le week-end dernier, pour se faire entendre. 

Devant les écoles, les collèges, les lycées, ou à proximité des « vaccibus », les membres du collectif vont à la rencontre des parents et des citoyens en général. « Pour échanger », affirme Liliane Thomas, membre du groupe « Parents en colère » des Vosges. Ouvrir le dialogue sur la politique imposée au pays dans le cadre de la crise de la Covid-19. Parfois, ils sont bien accueillis, parfois moins. En tous les cas, ils cherchent à amener la discussion. Devant les établissements scolaires, ces séances de tractage sont l’occasion de proposer un questionnaire, pour connaître le point de vue de chacun sur la situation et récolter des témoignages. « Les parents, ils n’en peuvent plus avec toutes ces mesures », explique Liliane Thomas. « C’est compliqué à gérer ». Parmi les problèmes les plus fréquemment évoqués, liés au port du masque : « Des maux de tête, des difficultés respiratoires ». Vertiges aussi, étourdissements, manque d’oxygénation, troubles de la concentration. Puis il y a l’aspect psychologique, la tristesse, des crises d’angoisse.

Des enfants respirant pendant des heures, jour après jour, dans un masque. Une ambiance de travail anxiogène. Une institution scolaire relai de propagande. Des punitions injustifiées. Des tests épidémiologiques à répétition. Voilà ce que dénoncent des parents d’élèves du département comme du reste de la France. Avec le fameux « Pass sanitaire », devenu « Pass vaccinal », il s’agit bien d’une autre face de la politique gouvernementale vivement contestée. Le port du masque est parfois imposé jusque dans la pratique sportive. « C’est inadmissible », estime Liliane Thomas. « Les enfants sont vraiment en danger ». Les effets du masque concernent la santé physique, mais aussi l’enseignement. « Au niveau de la diction, de l’apprentissage, il y aura beaucoup de séquelles ».

Si l’école est le cœur de leur combat, les membres du collectif évoquent aussi la question de la vaccination, du libre choix des personnes, et notamment des possibles effets secondaires. « Il y a une recrudescence d’AVC », affirme la référente du collectif de parents. « C’est terrible ce qui se passe ». Essayer d’ouvrir une discussion entre parents sur la vaccination des enfants est l’un des objectifs du groupe. Le message est le suivant : « Parents, soyez prudents, tout va trop vite », lit-on sur un tract. « Les enfants ne sont pas une population à risque ». Ou encore, « Vacciner les enfants, c’est accepter potentiellement de les mettre en danger, alors qu’ils n’avaient aucun risque de mourir ou de souffrir gravement du coronavirus ».

Le collectif s’intéresse aussi à l’accès aux soins pour les personnes qui n’ont pas de « Pass », notamment à l’hôpital. Il met en lumière la discrimination entre les vaccinés et les non vaccinés. « On n’a plus de compassion », affirme Liliane Thomas, qui constate « l’inhumanité dans laquelle on est rentré ». Une ambiance malsaine dans la société, où l’on accepte des restrictions inédites, où chacun se croit autorisé à mépriser, à moquer, à faire preuve parfois d’une grande agressivité et d’une intolérance inouïe. « Elle est où la liberté ? », interroge Liliane Thomas. Et où est la réflexion ? « Éteignez vos téléviseurs et allumez vos cerveaux ».

Quelques photos des rassemblements de "Parents en colère", et notamment à Bruxelles : 

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2 réactions sur “Vosges : contre les dérives du protocole sanitaire, les « Parents en colère » ne désarment pas

  1. PierreL

    C’est très à la mode d' »être en colère », de « ne pas être des moutons » etc… et ça vous donne l’occasion d' »avoir les honneurs de la presse ».
    Mais que n’auraient pas dit ces mêmes parents s’il n’y avait pas eu de protocole sanitaire à l’école !
    A coup sûr, ils auraient été « en colère »… et avec raison cette fois !

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  2. Virg.

    Il n’y aucun manque d’oxygénation avec le port du masque chirurgical (ça a été testé, mesuré). Un inconfort évident, ça en revanche oui. Des séquelles psychologiques aussi, de même que sur le plan du développement des plus petits.

    Par contre, ça suffit avec la désinformation sur les vaccins. Non, un vaccin ne provoque pas systématiquement des AVC en cascade chez des personnes qui n’ont pas de fragilité connue à ce niveau. Non, on ne met personne en danger en vaccinant. C’est avec la vaccination qu’on a éradiqué des maladies gravissimes comme la variole, ou qu’on a fortement réduit la mortalité infantile (polio, diphtérie, tétanos, rougeole…).
    « Éteignez vos téléviseurs et allumez vos cerveaux » : un bon conseil que ces parents devraient appliquer. Charité bien ordonnée commence par soi-même.

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