Le préfet des Vosges, Yves Séguy, s’est rendu ce mardi au Grand Ventron afin d’échanger avec les élus locaux et l’ensemble des acteurs de la biodiversité sur le projet de renforcement du grand tétras dans le massif des Vosges, espèce emblématique protégée en danger critique d’extinction.
Il était notamment accompagné par Laurent Seguin, président du parc des Ballons des Vosges et Sylvie D’alguerre, conseillère régionale. « Nous avons réuni l’ensemble des acteurs du territoire pour collectivement réaffirmer notre volonté à travailler au renforcement de l’espèce du Grand Tétras », affirme cette dernière. « Nous avons réaffirmé notre volonté de travailler sur l’amélioration de l’habitat. De mener cette opération avec la plus grande concertation des acteurs et des habitants du territoire. Une merveilleuse aventure humaine débute. Au service de la biodiversité du massif ». Pour rappel, le Grand Tétras, ou Tetrao urogallus, est espèce protégée au niveau européen et dans plusieurs régions françaises. C’est un oiseau de la famille des galliformes. Le mâle pèse de 3 à 6 kg, le plumage est sombre. La femelle, plus petite, entre 1,5 à 2,2 kg, a un plumage clair, beige roux. Selon le site des parcs nationaux de France, le grand tétras est présent dans le Jura, les Vosges, les Cévennes et les Pyrénées. Les effectifs estimés sont de 4500 individus dont 90% sur la chaîne pyrénéenne. Le Parc national des Pyrénées abrite environ 10% des effectifs pyrénéens, soit 400 individus. Partout en France le grand tétras est en régression ; il se maintient tant bien que mal dans les Pyrénées. Dans les Cévennes où l’espèce avait disparu au XIXème siècle, une opération de réintroduction a été réalisée en 1976 ; une vingtaine d’individus subsiste aujourd’hui.
Le préfet des Vosges, Yves Séguy, s'est rendu ce mardi au Grand Ventron afin d'échanger avec les élus locaux et l'ensemble des acteurs de la biodiversité sur le projet de renforcement du grand tétras dans le massif des Vosges, espèce emblématique protégée en danger critique d’extinction.
Il était notamment accompagné par Laurent Seguin, président du parc des Ballons des Vosges et Sylvie D'alguerre, conseillère régionale. « Nous avons réuni l’ensemble des acteurs du territoire pour collectivement réaffirmer notre volonté à travailler au renforcement de l’espèce du Grand Tétras », affirme cette dernière. « Nous avons réaffirmé notre volonté de travailler sur l’amélioration de l’habitat. De mener cette opération avec la plus grande concertation des acteurs et des habitants du territoire. Une merveilleuse aventure humaine débute. Au service de la biodiversité du massif ». Pour rappel, le Grand Tétras, ou Tetrao urogallus, est espèce protégée au niveau européen et dans plusieurs régions françaises. C'est un oiseau de la famille des galliformes. Le mâle pèse de 3 à 6 kg, le plumage est sombre. La femelle, plus petite, entre 1,5 à 2,2 kg, a un plumage clair, beige roux. Selon le site des parcs nationaux de France, le grand tétras est présent dans le Jura, les Vosges, les Cévennes et les Pyrénées. Les effectifs estimés sont de 4500 individus dont 90% sur la chaîne pyrénéenne. Le Parc national des Pyrénées abrite environ 10% des effectifs pyrénéens, soit 400 individus. Partout en France le grand tétras est en régression ; il se maintient tant bien que mal dans les Pyrénées. Dans les Cévennes où l'espèce avait disparu au XIXème siècle, une opération de réintroduction a été réalisée en 1976 ; une vingtaine d'individus subsiste aujourd'hui.
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Très juste, Réaliste. En fait, c’est surtout une rafale de « menteries » que nous délivrent ces autorités bien complaisantes.
La « merveilleuse aventure humaine » qu’on nous vend a toutes chances de se terminer en lamentable foirade.
En effet, comment voulez-vous concilier la vie du grand tétras, qui a besoin d’abord de tranquillité, et les cohortes de vélos électriques qu’on s’apprête à faire débouler au plus profond de nos forêts, au nom du « tourisme 4 saisons »?
Le grand tétras peut faire ses valises pour des contrées mieux civilisées que nos Vosges, qu’on massacre jour après jour.
Comme le lynx, irrémédiablement condamné ici.
Comme le Géromois, chassé de chez lui par la spéculation. Comme le Bressaud, victime de la même folie destructrice. Et bien d’autres demain.
Pour toutes ces espèces, humaines ou animales, l’aventure finit mal, c’est la valise ou le cercueil.
Les Vosges ne s’arrêtent pas à la Bresse et Gérardmer, la Schlucht… Même si les « penseurs » verts locaux, un peu « dodolf », semblent vouloir le faire croire et l’imposer.
Entre le Ballon de Servance et le col de Bussang, un col, une station à l’agonie, et de grands espaces vierges et une tranquillité viscérale et Oh! quel calme !
J’oubliais, à ceux que ça intéresse, il y a de l’or, quelques belles petites pépites, dans le ruisseau qui descend sur le haut de Ventron, vers l’eau ferrugineuse.
Très juste, jean paul, hélas, ça fait belle lurette qu’on ne voit plus l’ombre d’une plume de cet oiseau magnifique malgré les déclarations d’intention non suivies d’actes de protection , comme le respect des grands et vieux arbres dont ils ont besoin…
Trop d’intérêts financiers qui bloquent tout, comme toujours.
Le surtourisme aura la peau de tous ceux qui voudraient juste profiter de la vie toute simple.
Il est juste inconcevable que ce magnifique animal en voie de disparition puisse encore être chassé dans les Pyrénées. Si il y en a trop selon les tontons flingueurs alors prélevons les (dans le bon sens du terme, cad pas comme les chasseurs qui camouflent l’acte de tuer en utilisant le terme prélèvement) pour les replacer dans des régions ou ils disparaissent.
s il y avait encore ne serait qu un tétras dans les vosges, ca se saurait! arretez de nous prendre pour des boeufs! et ca remonte à loin sa disparition!
Comme le célèbre film :
Vol de rafales au dessus d’un nid de tétras
Et de ce côté là tout estnormal
Très juste, Réaliste. En fait, c’est surtout une rafale de « menteries » que nous délivrent ces autorités bien complaisantes.
La « merveilleuse aventure humaine » qu’on nous vend a toutes chances de se terminer en lamentable foirade.
En effet, comment voulez-vous concilier la vie du grand tétras, qui a besoin d’abord de tranquillité, et les cohortes de vélos électriques qu’on s’apprête à faire débouler au plus profond de nos forêts, au nom du « tourisme 4 saisons »?
Le grand tétras peut faire ses valises pour des contrées mieux civilisées que nos Vosges, qu’on massacre jour après jour.
Comme le lynx, irrémédiablement condamné ici.
Comme le Géromois, chassé de chez lui par la spéculation. Comme le Bressaud, victime de la même folie destructrice. Et bien d’autres demain.
Pour toutes ces espèces, humaines ou animales, l’aventure finit mal, c’est la valise ou le cercueil.
Les Vosges ne s’arrêtent pas à la Bresse et Gérardmer, la Schlucht… Même si les « penseurs » verts locaux, un peu « dodolf », semblent vouloir le faire croire et l’imposer.
Entre le Ballon de Servance et le col de Bussang, un col, une station à l’agonie, et de grands espaces vierges et une tranquillité viscérale et Oh! quel calme !
tout a fait de votre avis monsieur JEAN PAUL PETIT
Est le grand défenseur de la nature Maurice Claudel était la?
Un bon tetras avec un litre de la coopette …du 13 degrés avec des su et des champignons… au menu de la chaume et ensuite visite des
Brimbeliers …
mr PETIT vous savez si le bressaud et le geromois disparaissent ce n’est pas tres grave
J’oubliais, à ceux que ça intéresse, il y a de l’or, quelques belles petites pépites, dans le ruisseau qui descend sur le haut de Ventron, vers l’eau ferrugineuse.
Moi je suis pour la réintroduction du dinosaure
Très juste, jean paul, hélas, ça fait belle lurette qu’on ne voit plus l’ombre d’une plume de cet oiseau magnifique malgré les déclarations d’intention non suivies d’actes de protection , comme le respect des grands et vieux arbres dont ils ont besoin…
Trop d’intérêts financiers qui bloquent tout, comme toujours.
Le surtourisme aura la peau de tous ceux qui voudraient juste profiter de la vie toute simple.
J’ose espérer que ses personnes se sont rendus sur place a pieds ,faut surtout pas deranger le fantôme tetra!!
Il est juste inconcevable que ce magnifique animal en voie de disparition puisse encore être chassé dans les Pyrénées. Si il y en a trop selon les tontons flingueurs alors prélevons les (dans le bon sens du terme, cad pas comme les chasseurs qui camouflent l’acte de tuer en utilisant le terme prélèvement) pour les replacer dans des régions ou ils disparaissent.
s il y avait encore ne serait qu un tétras dans les vosges, ca se saurait! arretez de nous prendre pour des boeufs! et ca remonte à loin sa disparition!
apparemment Claude Pierre en a vu.ou en voit.