Le Val d’Ajol : une rentrée pas comme les autres pour les collégiens ajolaisUne « classe sauvage » a été organisée devant l’établissement menacé de fermeture
C’est une rentrée pas comme les autres ce vendredi matin pour les collégiens ajolais. Alors que le collège du village est menacé de fermeture depuis l’annonce faites par le Conseil Départemental à il y a un peu plus de dix jours, une « classe sauvage » a été organisée devant l’établissement. On a sorti les chaises, les tables, un tableau, et reconstitué ainsi toute une salle de cours. Une manière symbolique pour les parents et habitants de signifier leur volonté de conserver un collège au Val d’Ajol.
De nombreuses personnes se sont rassemblées aux alentours de 7h30 sur le parking situé devant le collège Fleurot d’Hérival pour marquer leur soutien à l’initiative. Des membres du collectif organisateur, des habitants, des commerçants. La confrérie des Taste Andouilles était bien représentée : plusieurs adhérents sont venus vêtus de leur tenue et avec leurs médailles. Des membres de diverses associations étaient là, notamment l’association des écoles. Une ancienne CPE et membre du collectif « Parents en colère » est également venue soutenir les habitants opposés à la disparition du collège.
Ce vendredi matin, le cours était assuré par Vincent Etienne, père de quatre enfants. Celui ci affirme l’importance du maintien du collège, et de tout ce qui assure la possibilité de vivre sur place et de suivre une scolarité : « On est venu ici pour la qualité de vie », explique-t-il. Et les services, les établissements scolaires présents dans le village. « Si le collège ferme, c’est le début de la fin ». Au programme ce matin : une dictée, un problème mathématique, et une récréation aussi bien sûr. Avant de s’installer sur les bancs de l’école, les collégiens ont enfilé un T-shirt avec l’inscription « Je vois la vie au Val d’Ajol », clin d’œil au slogan du Département.
Quelques instants avant que le cours ne commence, Christophe Clouzeau, membre du collectif organisateur, a fait la lecture du courrier envoyé hier soir à François Vannson suite à sa réponse concernant le projet alternatif de maintien d’un établissement au Val d’Ajol. « Une réponse mi ouverte mi fermée ». Les parents d’élève donnent rendez-vous au président du Conseil Départemental le 5 septembre à 20h, ou à une autre date qui lui conviendrait mieux, pour discuter de la suite. Après une minute de silence, la chanson de « Les Oubliés » de Gauvain Sers a été diffusée. Puis place à la dictée, et à un problème mathématique tout à fait de circonstance (voir ci dessous).
C’est une rentrée pas comme les autres ce vendredi matin pour les collégiens ajolais. Alors que le collège du village est menacé de fermeture depuis l’annonce faites par le Conseil Départemental à il y a un peu plus de dix jours, une « classe sauvage » a été organisée devant l’établissement. On a sorti les chaises, les tables, un tableau, et reconstitué ainsi toute une salle de cours. Une manière symbolique pour les parents et habitants de signifier leur volonté de conserver un collège au Val d’Ajol.
De nombreuses personnes se sont rassemblées aux alentours de 7h30 sur le parking situé devant le collège Fleurot d’Hérival pour marquer leur soutien à l’initiative. Des membres du collectif organisateur, des habitants, des commerçants. La confrérie des Taste Andouilles était bien représentée : plusieurs adhérents sont venus vêtus de leur tenue et avec leurs médailles. Des membres de diverses associations étaient là, notamment l’association des écoles. Une ancienne CPE et membre du collectif « Parents en colère » est également venue soutenir les habitants opposés à la disparition du collège.
Ce vendredi matin, le cours était assuré par Vincent Etienne, père de quatre enfants. Celui ci affirme l’importance du maintien du collège, et de tout ce qui assure la possibilité de vivre sur place et de suivre une scolarité : « On est venu ici pour la qualité de vie », explique-t-il. Et les services, les établissements scolaires présents dans le village. « Si le collège ferme, c’est le début de la fin ». Au programme ce matin : une dictée, un problème mathématique, et une récréation aussi bien sûr. Avant de s’installer sur les bancs de l’école, les collégiens ont enfilé un T-shirt avec l’inscription « Je vois la vie au Val d’Ajol », clin d’œil au slogan du Département.
Quelques instants avant que le cours ne commence, Christophe Clouzeau, membre du collectif organisateur, a fait la lecture du courrier envoyé hier soir à François Vannson suite à sa réponse concernant le projet alternatif de maintien d’un établissement au Val d’Ajol. « Une réponse mi ouverte mi fermée ». Les parents d’élève donnent rendez-vous au président du Conseil Départemental le 5 septembre à 20h, ou à une autre date qui lui conviendrait mieux, pour discuter de la suite. Après une minute de silence, la chanson de « Les Oubliés » de Gauvain Sers a été diffusée. Puis place à la dictée, et à un problème mathématique tout à fait de circonstance (voir ci dessous).
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Réponse à gavoye…oui, je ne souhaite pas que ma taxe foncière serve à faire du n’importe quoi….avez-vous vu le projet « alternative » pas financé, complètement irréaliste concernant les conditions d’apprentissage.
Le projet alternatif est complètement financé puisqu’il n’y a presque pas d’investissement. Les bâtiments (dont l’ancien collège d’avant 1973) ont été refait à neuf en 2018, et sont plus qu’aux normes! Pour des activités périscolaires, associatives, culturelles (médiathèque, école de musique) intermittentes et hors horaires scolaires, qui pourront donc continuer. Avec la mutualisation de ces bâtiments (« collège ouvert », encouragé par l’Education Nationale dans le cadre du programme « Territoires Educatifs Ruraux » ), on économisera de l’énergie, et donc les deniers publics alimentés par votre taxe foncière. D’autant qu’avec sa solution, le CD va dépenser 100 000 euros de plus pour financer le transport et la cantine des demi-pensionnaires « forcés ».
Mais la motivation première des ajolais mobilisés est la sécurité, prétexte de la fermeture, et le temps de transport excessif des collégiens, jusqu’à 3h par jour pour les plus éloignés du centre-ville du Val d’Ajol (40 kms aller et 40 kms retour), sur des routes étroites et sinueuses, soumises au gel, avec 2 cols à franchir et le centre de Plombières à traverser (impossible d’y croiser un bus et une voiture). Et encore, ces temps énoncés ne sont donc que théoriques…
Rédaction:
« Ceux qui possèdent le savoir, l’argent et le pouvoir et pour qui j’ai voté m’ont trompés, me trompent et me tromperont. Pourtant, aux ordres d’associations extrémistes autoproclamées bienpensantes et soumises je vote ou voterai encore pour ceux-là.
Suis-je malade, masochiste ou simplement stupide ? »
Autre possibilité de réflexion : hormis en France, ce type de folklore serait-il possible ? un homonyme (Lavrenti Pavlovitch Beria dit Laurent Béria), dans un autre pays au siècle dernier par exemple, l’aurait-il toléré ……
C’est ce qui s’appelle du n’importe quoi…
Parole d’expertise.
Bonjour
Êtes vous directement concernée ?
Réponse à gavoye…oui, je ne souhaite pas que ma taxe foncière serve à faire du n’importe quoi….avez-vous vu le projet « alternative » pas financé, complètement irréaliste concernant les conditions d’apprentissage.
Le projet alternatif est complètement financé puisqu’il n’y a presque pas d’investissement. Les bâtiments (dont l’ancien collège d’avant 1973) ont été refait à neuf en 2018, et sont plus qu’aux normes! Pour des activités périscolaires, associatives, culturelles (médiathèque, école de musique) intermittentes et hors horaires scolaires, qui pourront donc continuer. Avec la mutualisation de ces bâtiments (« collège ouvert », encouragé par l’Education Nationale dans le cadre du programme « Territoires Educatifs Ruraux » ), on économisera de l’énergie, et donc les deniers publics alimentés par votre taxe foncière. D’autant qu’avec sa solution, le CD va dépenser 100 000 euros de plus pour financer le transport et la cantine des demi-pensionnaires « forcés ».
Mais la motivation première des ajolais mobilisés est la sécurité, prétexte de la fermeture, et le temps de transport excessif des collégiens, jusqu’à 3h par jour pour les plus éloignés du centre-ville du Val d’Ajol (40 kms aller et 40 kms retour), sur des routes étroites et sinueuses, soumises au gel, avec 2 cols à franchir et le centre de Plombières à traverser (impossible d’y croiser un bus et une voiture). Et encore, ces temps énoncés ne sont donc que théoriques…
Marre de voir le val d’ajol il y en n’a que pour eux changer de disque les journalistes
Rédaction:
« Ceux qui possèdent le savoir, l’argent et le pouvoir et pour qui j’ai voté m’ont trompés, me trompent et me tromperont. Pourtant, aux ordres d’associations extrémistes autoproclamées bienpensantes et soumises je vote ou voterai encore pour ceux-là.
Suis-je malade, masochiste ou simplement stupide ? »
Vous avez quatre heures !!!!
Autre possibilité de réflexion : hormis en France, ce type de folklore serait-il possible ? un homonyme (Lavrenti Pavlovitch Beria dit Laurent Béria), dans un autre pays au siècle dernier par exemple, l’aurait-il toléré ……
Le temps d’armer un Tokarev
ni maso ni stupide tout simplement soumis aux ordres du monarque
après les Gilets Jaunes c’est l’époque des Cartables Jaunes … les orages qui arrivent vont remettent un peu d’ordre !
BELLE LECON POUR LES GENS QUI PRETENDENT ËTRE EN CAPACITE DE CONDUIRE LES AFFAIRES DU PAYS VOSGIEN;
Le val d’ajol plus fort que les bressaud? La mobilisation est plus forte.
Quand on voit ce qu’est devenu l ancien collège de la Bresse
Courage à vous