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dimanche 28 mai 2023
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Patrick Nardin élu président du Conseil Territorial de Santé des Vosges

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Photo d’archive 

Communiqué de l’Agence Régionale de Santé 

En Grand Est, les nouveaux Conseils territoriaux de santé (CTS), organe réglementaire de la démocratie sanitaire, s’installent sur la maille départementale afin de renforcer la concertation de l’ensemble des partenaires (usagers, élus, professionnels de santé, institutionnels) sur les projets de santé dans la suite des CNR et au moment de l’élaboration du nouveau PRS 2023-2028.

Dans les Vosges, le CTS réuni le 3 mars 2023 a élu Monsieur Patrick NARDIN, Maire de la ville d’Epinal, Président du CTS Vosges, et Madame Marilyna VANTINI, Mairesse de Villers, vice-présidente.
L’ARS Grand Est a arrêté, le 26 septembre 2022, 10 territoires de démocratie sanitaire (TDS), correspondant au découpage départemental, après avoir recueilli les avis du préfet de région, de la Conférence régionale de la santé et de l’autonomie (CRSA) ainsi que des collectivités territoriales concernées.
Ces territoires de démocratie sanitaire ont été redéfinis sur cette maille territoriale afin de renforcer une coordination des politiques de santé à un niveau plus propice à l’expression des différentes composantes du système de santé.
Ils doivent permettre, dans chaque territoire, la mise en cohérence des projets de l’ARS, des professionnels et des collectivités territoriales et la prise en compte de l’expression des acteurs du système de santé et notamment celle des usagers.
Les Conseils territoriaux de santé :
– Contribuent à l’élaboration, à la mise en œuvre, au suivi, et à l’évaluation du Projet régional de santé (PRS), en particulier concernant l’organisation des parcours de santé,
– Participent à l’élaboration du diagnostic territorial partagé en identifiant les besoins sanitaires, sociaux et médico-sociaux de la population tout en s’appuyant sur des données d’observation,
– Donnent un avis sur le diagnostic territorial partagé et le projet territorial de santé mentale,
– Sont informés de la création des plates-formes territoriales d’appui à la coordination des parcours de santé, et de la signature des contrats locaux de santé,
– Veillent à conserver la spécificité des dispositifs et des démarches locales de santé fondées sur la participation des habitants.
– Le Conseil territorial de santé peut adresser au directeur général de l’Agence Régionale de Santé des propositions pour améliorer la réponse aux besoins de la population sur le territoire, notamment sur l’organisation des parcours de santé.
Les Conseils territoriaux de santé sont composés de 50 membres, ayant un mandat de 5 ans renouvelable, répartis en 6 collèges :

– Collège 1 : représentant les professionnels et offreurs des services de santé,

– Collège 2 : représentant les usagers et associations d’usagers,

– Collège 3 : représentant les collectivités locales du territoire de santé concerné,

– Collège 4 : représentant l’État et les organismes de sécurité sociale,

– Collège 5 : composé de 2 personnalités qualifiées,

– Collège 6 : composé des Parlementaires élus dans le ressort du territoire concerné et du membre représentant d’un comité des massifs

Chaque Conseil Territorial de Santé (CTS) est constitué d’une assemblée plénière, d’un bureau, d’une commission
spécialisée en santé mentale (CSSM) et d’une commission territoriale des usagers (CTU).

Communiqué 

Patrick_Nardin-800x410 Photo d'archive 

Communiqué de l'Agence Régionale de Santé 

En Grand Est, les nouveaux Conseils territoriaux de santé (CTS), organe réglementaire de la démocratie sanitaire, s’installent sur la maille départementale afin de renforcer la concertation de l’ensemble des partenaires (usagers, élus, professionnels de santé, institutionnels) sur les projets de santé dans la suite des CNR et au moment de l’élaboration du nouveau PRS 2023-2028.

Dans les Vosges, le CTS réuni le 3 mars 2023 a élu Monsieur Patrick NARDIN, Maire de la ville d’Epinal, Président du CTS Vosges, et Madame Marilyna VANTINI, Mairesse de Villers, vice-présidente. L’ARS Grand Est a arrêté, le 26 septembre 2022, 10 territoires de démocratie sanitaire (TDS), correspondant au découpage départemental, après avoir recueilli les avis du préfet de région, de la Conférence régionale de la santé et de l'autonomie (CRSA) ainsi que des collectivités territoriales concernées. Ces territoires de démocratie sanitaire ont été redéfinis sur cette maille territoriale afin de renforcer une coordination des politiques de santé à un niveau plus propice à l’expression des différentes composantes du système de santé. Ils doivent permettre, dans chaque territoire, la mise en cohérence des projets de l’ARS, des professionnels et des collectivités territoriales et la prise en compte de l’expression des acteurs du système de santé et notamment celle des usagers. Les Conseils territoriaux de santé : - Contribuent à l’élaboration, à la mise en œuvre, au suivi, et à l’évaluation du Projet régional de santé (PRS), en particulier concernant l’organisation des parcours de santé, - Participent à l’élaboration du diagnostic territorial partagé en identifiant les besoins sanitaires, sociaux et médico-sociaux de la population tout en s’appuyant sur des données d’observation, - Donnent un avis sur le diagnostic territorial partagé et le projet territorial de santé mentale, - Sont informés de la création des plates-formes territoriales d’appui à la coordination des parcours de santé, et de la signature des contrats locaux de santé, - Veillent à conserver la spécificité des dispositifs et des démarches locales de santé fondées sur la participation des habitants. - Le Conseil territorial de santé peut adresser au directeur général de l'Agence Régionale de Santé des propositions pour améliorer la réponse aux besoins de la population sur le territoire, notamment sur l’organisation des parcours de santé. Les Conseils territoriaux de santé sont composés de 50 membres, ayant un mandat de 5 ans renouvelable, répartis en 6 collèges : - Collège 1 : représentant les professionnels et offreurs des services de santé, - Collège 2 : représentant les usagers et associations d’usagers, - Collège 3 : représentant les collectivités locales du territoire de santé concerné, - Collège 4 : représentant l’État et les organismes de sécurité sociale, - Collège 5 : composé de 2 personnalités qualifiées, - Collège 6 : composé des Parlementaires élus dans le ressort du territoire concerné et du membre représentant d'un comité des massifs Chaque Conseil Territorial de Santé (CTS) est constitué d'une assemblée plénière, d'un bureau, d'une commission spécialisée en santé mentale (CSSM) et d'une commission territoriale des usagers (CTU). Communiqué 



5 réactions sur “Patrick Nardin élu président du Conseil Territorial de Santé des Vosges

    1. Macadam

      Encore une strate administrative supplémentaire inutileencore plus exceptionnelle les strates sont essentiellement composées des mêmes personnes.
      Au final un système verrouillé avec une pensée unique!

      répondre
  1. a bobo la tête.

    Un niéme zinzin inutile pour caser les copains.
    à quoi alors sert l’ARS et ses cadres hyper payés ( 17 000 euros mensuels pour ce qui concerne le drecteur regional ).

    répondre
  2. Bruno E.

    Encore une instance qui fait croire à une démocratie.
    Le conseil territorial de santé (CTS) propose à l’agence régionale de santé (ARS) toute amélioration qu’il juge nécessaire sur le territoire. Le CTS n’a aucun pouvoir décisionnaire. L’ARS dispose…
    Comme l’ARS doit appliquer les directives ministérielles et qu’il faut faire des économies à tout prix, l’argent manquant, cette instance comme tous ces comités Théodule, etc…, ne servent à pas grand-chose pour ne pas dire à rien… L’ARS aura toujours le dernier mot !
    Le coût de fonctionnement ne doit pas non plus être anodin, une couche de plus aux dépenses peu utiles.
    Le diagnostic est connu depuis longtemps. Les économies à grand renfort de mutualisation, regroupement, fermetures, etc…, font qu’il est de plus en plus difficile de se soigner dans notre pays.
    La télémédecine mise en avant est un leurre qui est loin d’être adaptée aux différentes pathologies avec des médecins ne connaissant pas les antécédents des patients. L’auscultation à distance à de grosses limites.
    Faire un infarctus la nuit dans les campagnes Vosgiennes ou même une ville comme Gérardmer pose question sur la rapidité des secours et du traitement !
    L’avenir est bien sombre pour notre système de santé.

    répondre

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