FTV : Une des plus anciennes usines textile des Vosges en liquidationCoup dur à Saulxures-sur-Moselotte : une cinquantaine de salariés se retrouvent sans emploi
Ce mardi 26 septembre, le tribunal de commerce d’Epinal prononçait la liquidation judiciaire des filatures et tissages des Vosges implantées à Saulxures-sur-Moselotte. Cette filature était l’une des plus anciennes usines textile des Vosges, fonctionnant sans interruption depuis 1825. Socialement, c’est une cinquantaine de personnels qui se retrouve sans emploi.
La société était en redressement judiciaire depuis le 5 septembre 2023 après être passée sous le contrôle de TGV, Valrupt Industrie. Fondée en 1825, le site a employé jusqu’à plus de 800 personnes. Depuis quelques années, les dirigeants s’étaient orientés vers la production de tissus techniques destinés à l’industrie automobile puis vers la production de protections de literie, et était labélisée Vosges terre textile, label qui garantit le « made in Vosges ».
Crédit photo : Terres Textiles
Ce mardi 26 septembre, le tribunal de commerce d’Epinal prononçait la liquidation judiciaire des filatures et tissages des Vosges implantées à Saulxures-sur-Moselotte. Cette filature était l'une des plus anciennes usines textile des Vosges, fonctionnant sans interruption depuis 1825. Socialement, c'est une cinquantaine de personnels qui se retrouve sans emploi.
La société était en redressement judiciaire depuis le 5 septembre 2023 après être passée sous le contrôle de TGV, Valrupt Industrie. Fondée en 1825, le site a employé jusqu'à plus de 800 personnes. Depuis quelques années, les dirigeants s'étaient orientés vers la production de tissus techniques destinés à l’industrie automobile puis vers la production de protections de literie, et était labélisée Vosges terre textile, label qui garantit le "made in Vosges".
Crédit photo : Terres Textiles
10 réactions sur “FTV : Une des plus anciennes usines textile des Vosges en liquidation”
Ricardo
c’est bien triste !
Pour tous ceux privés d’emploi il faudra vite rebondir sur une autre activité via la formation… ne pas hésiter à vite se reconvertir pour ne pas trainer ce traumatisme pendant des années ! c’est la seule solution
Cette entreprise ne fêtera pas son bicentenaire en 2025 . Elle a dégraissé ses effectifs par des non remplacements de départs à la retraite, des départs volontaires et cette dernière décennie, des plans de licenciement .
A t-elle su et voulu moderniser son outil de travail pour rester compétitive ?
En tous cas cette boite a fait vivre des centaines de salariés à Saulxures et dans la vallée pour des salaires et retraites de misère, à faire pleurer le Bon Dieu .Des syndicats à la botte du patron qui ont plutôt négocié le poids et la longueur des chaines de l’exploitation capitaliste, que les conditions d’existence de son personnel .Je n’ai pas oublié et me souviens encore quand je demandais au nom des habitants du quartier, l’entretien des abords de l’usine, souvent négligé, l’encadrement me disait de ne pas faire de vague sous menaces de fermeture de l’usine . L’usine est maintenant fermée, je n’y suis pour rien et le quartier est à l’abandon puis notre commune va perdre ce qui restait de la filière textile, qui était le fil conducteur de son économie depuis sa création . Dans les temps forts de l’activité dans les années 1960 c’étaient environ 900 salariés qui travaillaient pour l’snsemble des sites FTS à Saulxures (Envres de Bamont- Médelle et Longènes ) L’effectifs s’est réduit comme peau de chagrin: 50 salariés. Espérons que les pouvoirs publics vont activer tous les dispositifs d’aide à la reconversion pour que le personnel retrouve rapidement un emploi .Je me tiens à la disposition des salartiés qui auraient besoin d’une aide à la rédaction de courriers, dans le cadre de démarches . Courage !
Ce fleuron de l’industrie textile va laisser une nouvelle friche, après celle de la Médelle et des Longènes . Notre commune s’appauvrit en emplois .Il reste la filière du bois qui semble résister et se développer . On peut penser que tout a été essayé pour sauver l’entreprise presque bicentenaire .le tourisme sera t-il notre nouvel eldorado ? Le conseil départemental met en avant son label : » je vois la vie en Vosges » Il reste du chemin à parcourir pour que la destination » Vosges s’impose dans tous les domaines de l’activité économique . Nos forces vives ont du talent .Arrêtons d’emmerder celles et ceux qui veulent travailler et entreprendre !
NON, la Commune de Saulxures n’est pas responsable de la fermeture des anciennes Usines FTS . Les municipalités successives ont au contraire facilité l’agrandissement des FTS, pour aider au dévelopement de leur activité . Ceux qui veulent en découdre avec l’actuelle municipalité chargent la barque inutilement .Nos Elus ont bien d’autres chats à fouetter Il faut se rendre aux réunions du conseil municipal, qui sont publiques pour s’informer de la vie de la commune, avant d’en discuter sérieusement sur la place publique . Par contre les salriés de l’entreprise FTS apprécieraient sans aucun doute que l’on prenne de leurs nouvelles, afin de voir ce dont ils pourraient avoir besoin dans l’immédiat . La solidarité c’est l’écoute attentive sans jugement, pour comprendre les situations et accorder une aide collective ou individuelle, une mise en relation avec des organismes de formation, d’appui à la recherche d’emploi .la Reine Marie-Antoinette disait en son temps » s’ils n’ont pas de pain donnez leur de la bricoche . Des gens, sans compassion suggèrent aux FTS de vendre leur maison, s’ils ne s’en sortent pas ;;;;;; Quel mépris et manque de respect envers ces salariés, qui n’ont rien demandé, sauf à conserver leur emploi pour continuer de travailler. En ce qui me concerne, j je renouvelle ma proposition d’aide à la rédaction de courriers pour effectuer diverses démarches. Voilà du concret, loin de la méchanceté de ceux qui parlent sans savoir .
analyse pertinente de l’ambiance qui règne dans ce village !
certains ont des comptes à régler mais le plus important aujourd’hui c’est de s’occuper de ses familles qui se demandent ce que l’avenir leurs réserve maintenant… je persiste à dire qu’il ne faut pas que la fatalité, le désarroi et l’immobilisme s’installe, passés les délais nécessaires pour les papiers, les inscriptions, les réunions .. il faudra vite rebondir et tracer une nouvelle route professionnelle. Pas la peine de perdre du temps et de rechercher le même métier…il n’existe plus dans la vallée ! par contre les compétences du métier peuvent se transposer dans d’autres secteurs et de manière générale les ouvriers et ouvrières du textile sont reconnus pour des personnes » courageuses et qui bossent dur » alors toutes les entreprises, commerces, industries du coin … ont là l’occasion de tordre le coup à la réflexion qu’on entend depuis trop longtemps » on ne trouve personne pour venir travailler ! » , là vous avez un vivier de gens qui ne demandent que ça pour conjurer le sort. Quelques aménagements içi et là des 2 côtés et la casse peut être fortement limitée.
Avant d’écrire n’importe quoi, il faut effectivement se renseigner.
Donc, avant d’écrire que la filière du bois semble résister et se développer à Saulxures-sur-Moselotte, il ne faut pas avoir la mémoire courte.
Je vous rappelle juste qu’il avait à Saulxures-sur-Moselotte la plus grosse scierie du département : la scierie Gerbois créée par Monsieur Pierre Germain puis reprise par son gendre Jean Desilvestre en 1977.
Quand ce dernier a pris sa retraite en 2007, elle a été rachetée par un financier parisien qui n’a tenu que 5 ans.
En automne 2013, Gerbois était liquidé avec 37 nouveaux chômeurs :
le sujet traité par le journaliste est la fermeture de l’usine textile de Saulxures . Pour ne pas être hors sujet, je n’aborde pas dans le détail l’histoire des entreprises du bois que vous semblez mieux connaitre que moi ( c’est à votre avabtage ) De nos jours, c’est bien la société GERMAIN MOUGENOT qui est la scierie la plus importante du secteur ( je ne me limitai qu’à rapporter celà et rien d’autre ) Donc je n’ai pas la prétention de tout savoir et ne commente qu’en l’état de mes connaissances actuelles ‘ justement pour ne dire pas dire n’importe quoi ) Derrière son clavier, sous couvert d’un courageux anonymat, on peut invectiver d’autres internautes . Ma régle de conduite est le respect de mes interlocuteurs .
c’est bien triste !
Pour tous ceux privés d’emploi il faudra vite rebondir sur une autre activité via la formation… ne pas hésiter à vite se reconvertir pour ne pas trainer ce traumatisme pendant des années ! c’est la seule solution
pauvres Vosges !!!
Cette entreprise ne fêtera pas son bicentenaire en 2025 . Elle a dégraissé ses effectifs par des non remplacements de départs à la retraite, des départs volontaires et cette dernière décennie, des plans de licenciement .
A t-elle su et voulu moderniser son outil de travail pour rester compétitive ?
En tous cas cette boite a fait vivre des centaines de salariés à Saulxures et dans la vallée pour des salaires et retraites de misère, à faire pleurer le Bon Dieu .Des syndicats à la botte du patron qui ont plutôt négocié le poids et la longueur des chaines de l’exploitation capitaliste, que les conditions d’existence de son personnel .Je n’ai pas oublié et me souviens encore quand je demandais au nom des habitants du quartier, l’entretien des abords de l’usine, souvent négligé, l’encadrement me disait de ne pas faire de vague sous menaces de fermeture de l’usine . L’usine est maintenant fermée, je n’y suis pour rien et le quartier est à l’abandon puis notre commune va perdre ce qui restait de la filière textile, qui était le fil conducteur de son économie depuis sa création . Dans les temps forts de l’activité dans les années 1960 c’étaient environ 900 salariés qui travaillaient pour l’snsemble des sites FTS à Saulxures (Envres de Bamont- Médelle et Longènes ) L’effectifs s’est réduit comme peau de chagrin: 50 salariés. Espérons que les pouvoirs publics vont activer tous les dispositifs d’aide à la reconversion pour que le personnel retrouve rapidement un emploi .Je me tiens à la disposition des salartiés qui auraient besoin d’une aide à la rédaction de courriers, dans le cadre de démarches . Courage !
Ce fleuron de l’industrie textile va laisser une nouvelle friche, après celle de la Médelle et des Longènes . Notre commune s’appauvrit en emplois .Il reste la filière du bois qui semble résister et se développer . On peut penser que tout a été essayé pour sauver l’entreprise presque bicentenaire .le tourisme sera t-il notre nouvel eldorado ? Le conseil départemental met en avant son label : » je vois la vie en Vosges » Il reste du chemin à parcourir pour que la destination » Vosges s’impose dans tous les domaines de l’activité économique . Nos forces vives ont du talent .Arrêtons d’emmerder celles et ceux qui veulent travailler et entreprendre !
NON, la Commune de Saulxures n’est pas responsable de la fermeture des anciennes Usines FTS . Les municipalités successives ont au contraire facilité l’agrandissement des FTS, pour aider au dévelopement de leur activité . Ceux qui veulent en découdre avec l’actuelle municipalité chargent la barque inutilement .Nos Elus ont bien d’autres chats à fouetter Il faut se rendre aux réunions du conseil municipal, qui sont publiques pour s’informer de la vie de la commune, avant d’en discuter sérieusement sur la place publique . Par contre les salriés de l’entreprise FTS apprécieraient sans aucun doute que l’on prenne de leurs nouvelles, afin de voir ce dont ils pourraient avoir besoin dans l’immédiat . La solidarité c’est l’écoute attentive sans jugement, pour comprendre les situations et accorder une aide collective ou individuelle, une mise en relation avec des organismes de formation, d’appui à la recherche d’emploi .la Reine Marie-Antoinette disait en son temps » s’ils n’ont pas de pain donnez leur de la bricoche . Des gens, sans compassion suggèrent aux FTS de vendre leur maison, s’ils ne s’en sortent pas ;;;;;; Quel mépris et manque de respect envers ces salariés, qui n’ont rien demandé, sauf à conserver leur emploi pour continuer de travailler. En ce qui me concerne, j je renouvelle ma proposition d’aide à la rédaction de courriers pour effectuer diverses démarches. Voilà du concret, loin de la méchanceté de ceux qui parlent sans savoir .
analyse pertinente de l’ambiance qui règne dans ce village !
certains ont des comptes à régler mais le plus important aujourd’hui c’est de s’occuper de ses familles qui se demandent ce que l’avenir leurs réserve maintenant… je persiste à dire qu’il ne faut pas que la fatalité, le désarroi et l’immobilisme s’installe, passés les délais nécessaires pour les papiers, les inscriptions, les réunions .. il faudra vite rebondir et tracer une nouvelle route professionnelle. Pas la peine de perdre du temps et de rechercher le même métier…il n’existe plus dans la vallée ! par contre les compétences du métier peuvent se transposer dans d’autres secteurs et de manière générale les ouvriers et ouvrières du textile sont reconnus pour des personnes » courageuses et qui bossent dur » alors toutes les entreprises, commerces, industries du coin … ont là l’occasion de tordre le coup à la réflexion qu’on entend depuis trop longtemps » on ne trouve personne pour venir travailler ! » , là vous avez un vivier de gens qui ne demandent que ça pour conjurer le sort. Quelques aménagements içi et là des 2 côtés et la casse peut être fortement limitée.
Monsieur Je Sais Tout, bonjour,
Avant d’écrire n’importe quoi, il faut effectivement se renseigner.
Donc, avant d’écrire que la filière du bois semble résister et se développer à Saulxures-sur-Moselotte, il ne faut pas avoir la mémoire courte.
Je vous rappelle juste qu’il avait à Saulxures-sur-Moselotte la plus grosse scierie du département : la scierie Gerbois créée par Monsieur Pierre Germain puis reprise par son gendre Jean Desilvestre en 1977.
Quand ce dernier a pris sa retraite en 2007, elle a été rachetée par un financier parisien qui n’a tenu que 5 ans.
En automne 2013, Gerbois était liquidé avec 37 nouveaux chômeurs :
https://tout-metz.com/scierie-gerbois-liquidation-judiciaire-vosges-132.php
https://www.usinenouvelle.com/article/pas-de-repreneur-pour-gerbois.
Gerbois a compté plus de 150 salariés a ses grandes heures à la fin des années 90 et au début des années 2000.
Maintenant, il ne reste plus qu’une friche juste en face de la base de loisirs.
Et n’oubliez pas la scierie devenue musée du bois et la caisserie Ladouce qui ont également fermé.
Donc, arrêtez décrire des contre-vérités !
C’est bien de s’indigner de la fermeture d’une usine de textile vosgienne. C’est mieux d’acheter du textile vosgien même s’il est un peu plus cher.
Triste nouvelle la fermeture du tissage
Histoire déjà vécue avec le tissage de la côte en Haute -Saône
le sujet traité par le journaliste est la fermeture de l’usine textile de Saulxures . Pour ne pas être hors sujet, je n’aborde pas dans le détail l’histoire des entreprises du bois que vous semblez mieux connaitre que moi ( c’est à votre avabtage ) De nos jours, c’est bien la société GERMAIN MOUGENOT qui est la scierie la plus importante du secteur ( je ne me limitai qu’à rapporter celà et rien d’autre ) Donc je n’ai pas la prétention de tout savoir et ne commente qu’en l’état de mes connaissances actuelles ‘ justement pour ne dire pas dire n’importe quoi ) Derrière son clavier, sous couvert d’un courageux anonymat, on peut invectiver d’autres internautes . Ma régle de conduite est le respect de mes interlocuteurs .