Lors d’une conférence de presse tenue ce mercredi, l’Observatoire du Loup par les voix de son président Dominique Humbert et du spécialiste Jean-Luc Valérie, a tiré la sonnette d’alarme. Selon le mouvement, les politiques sur la question du loup en France sont inefficaces voire contreproductives. Pour tenter de trouver des solutions, l’association a décidé de mettre en demeure l’Office Français de la Biodiversité (OFB) pour avoir accès aux documents d’autopsies des loups tirées, collisionnés ou braconnés afin de mieux comprendre le phénomène et mieux prévenir les risques.
« La situation va s’aggraver, c’est un cri d’alerte que nous lançons », le président de l’Observatoire du Loup, Dominique Humbert ne mâche pas ses mots. Lors d’une conférence de presse ce mercredi, le mouvement, constitué en association en 2022, par la voix de son chef de file, déplore les politiques de l’état comme celles des autorités publiques locales. « Il faut arrêter les tirs de destruction, c’est contreproductif. Ils ne font que stimuler la reproduction du loup », assure Dominique Humbert qui fait écho la situation devenue inextricable en Saône-et-Loire. Comme une réponse d’instinct à la prédation humaine, le loup se reproduit aujourd’hui plus rapidement et change également son comportement, attaquant régulièrement des bovins et rôdant plus près des villes.
Former les éleveurs pour une meilleure cohabitation
« Nous ne sommes pas une association de protection du loup », prévient d’abord Jean-Luc Valérie, écrivain et spécialiste du loup. Et de poursuivre : « La question du loup doit être pris dans sa globalité. Il faut comprendre comment il peut cohabiter avec les élevages. « Alors comment faire ? Pour l’Observatoire, il s’agit d’insister sur la prévention et la formation des éleveurs qui ont perdu certains acquis : « Ils ne comprennent pas le comportement du loup chez eux. Alors qu’en observant les brebis on peut savoir que le loup est là et ainsi prévenir les attaques », explique le spécialiste. « Ce qu’il manque c’est une assistance technique de 4 à 5 personnes dans chaque département afin d’assister les éleveurs et assurer un suivi précis », poursuit-il.
L’Observatoire du Loup met en demeure l’OFB
Mais pour ce faire, il faut des données précises. Et dans ce domaine, la France est encore loin de ses voisins avec seulement 5000 données collectées par an contre 23 000 en Allemagne et 48 000 en Italie. Au-delà de ce chiffre dérisoire, l’Observatoire met en avant le manque de transparence de l’OFB en charge de la collecte des données. C’est pourquoi et pour mieux comprendre et endiguer le phénomène du loup en France, l’association a demandé à l’OFB les dossiers d’autopsies. Sans succès. « Nous n’avons rien obtenu jusqu’ici. Nous avons demandé à notre avocat d’envoyer une mise en demeure à l’OBF le 14 novembre. Nous sommes déterminés. Nous avons besoin de ces données et en cas de non réponse, nous n’hésiterons pas à aller jusqu’au tribunal administratif », annonce Dominique Humbert. Selon l’association, dans les Vosges, on compterait une dizaine de loups.
J.C.
Lors d'une conférence de presse tenue ce mercredi, l'Observatoire du Loup par les voix de son président Dominique Humbert et du spécialiste Jean-Luc Valérie, a tiré la sonnette d'alarme. Selon le mouvement, les politiques sur la question du loup en France sont inefficaces voire contreproductives. Pour tenter de trouver des solutions, l'association a décidé de mettre en demeure l'Office Français de la Biodiversité (OFB) pour avoir accès aux documents d'autopsies des loups tirées, collisionnés ou braconnés afin de mieux comprendre le phénomène et mieux prévenir les risques.
"La situation va s'aggraver, c'est un cri d'alerte que nous lançons", le président de l'Observatoire du Loup, Dominique Humbert ne mâche pas ses mots. Lors d'une conférence de presse ce mercredi, le mouvement, constitué en association en 2022, par la voix de son chef de file, déplore les politiques de l'état comme celles des autorités publiques locales. "Il faut arrêter les tirs de destruction, c'est contreproductif. Ils ne font que stimuler la reproduction du loup", assure Dominique Humbert qui fait écho la situation devenue inextricable en Saône-et-Loire. Comme une réponse d'instinct à la prédation humaine, le loup se reproduit aujourd'hui plus rapidement et change également son comportement, attaquant régulièrement des bovins et rôdant plus près des villes.
Former les éleveurs pour une meilleure cohabitation
"Nous ne sommes pas une association de protection du loup", prévient d'abord Jean-Luc Valérie, écrivain et spécialiste du loup. Et de poursuivre : "La question du loup doit être pris dans sa globalité. Il faut comprendre comment il peut cohabiter avec les élevages. "Alors comment faire ? Pour l'Observatoire, il s'agit d'insister sur la prévention et la formation des éleveurs qui ont perdu certains acquis : "Ils ne comprennent pas le comportement du loup chez eux. Alors qu'en observant les brebis on peut savoir que le loup est là et ainsi prévenir les attaques", explique le spécialiste. "Ce qu'il manque c'est une assistance technique de 4 à 5 personnes dans chaque département afin d'assister les éleveurs et assurer un suivi précis", poursuit-il.
L'Observatoire du Loup met en demeure l'OFB
Mais pour ce faire, il faut des données précises. Et dans ce domaine, la France est encore loin de ses voisins avec seulement 5000 données collectées par an contre 23 000 en Allemagne et 48 000 en Italie. Au-delà de ce chiffre dérisoire, l'Observatoire met en avant le manque de transparence de l'OFB en charge de la collecte des données. C'est pourquoi et pour mieux comprendre et endiguer le phénomène du loup en France, l'association a demandé à l'OFB les dossiers d'autopsies. Sans succès. "Nous n'avons rien obtenu jusqu'ici. Nous avons demandé à notre avocat d'envoyer une mise en demeure à l'OBF le 14 novembre. Nous sommes déterminés. Nous avons besoin de ces données et en cas de non réponse, nous n'hésiterons pas à aller jusqu'au tribunal administratif", annonce Dominique Humbert. Selon l'association, dans les Vosges, on compterait une dizaine de loups.
J.C.
Ce qui manque,
Ce qui manque…dites-vous ?
Cest….
Premièrement de la place
Deuxièmement de ia place
Troisièmement de la place …
Arrêtez de faire croire que le loup ait sa place dans une nature française où il n’y a plus assez de grands espaces sauvages…
Arrêtez de faire croire que près de 90 quarterons (1 par département) soit …pres de 360 salariés (c’est vous qui en assurez le financement ?….) régleraient le problème de la protection contre les nuisances de cette espèce…
Arrêtez de faire croire que la protection puisse être réglée par des mesures simples édictées par vos quarterons…
Vous savez très bien que ces mesures sont une escalade permanente avec des moyens de plus en plus conséquents des coûts de plus en plus importants et une quasi permanence des éleveurs et/ou de leurs salariés ( c’est vous, sains doute, qui assurez leurs salaires ?…) au milieu de leurs animaux…
Arrêtez de prendre les éleveurs de moutons, bovins, chevaux…pour des pantins à la merci des désiderata de citadins qui ne connaissent rien à rien de l’élevage…
Arrêtez de penser que le triste spectacle d’un troupeau décimé et massacré par un ou des loups n’affecte pas ce qui constitue la motivation quotidienne d’élever… de ces éleveurs de moutons, bovins, chevaux…
Arrêtez de laisser croire que tous ces loups dont vous parlez sont effectivement du genre « lupus » et non pas poir une proportion indéterminée mais non nulle, des hybrides de loup et de chien qui tombent alors sous certains couperets inexorables de la loi française…
Arrêtez de faire croire que les éleveurs sont indemnisés aussi facilement et rapidement que pour tout autre sinistre …
Est ce vous qui ramassez les cadavres ?
Est ce vous qui soignez ou euthanasiez ces animaux affreusement mutilés ?
Est ce vous qui passez votre temps d’expertise en expertise pour récupérer un peu d’indemnisation ?
Arrêtez de penser que la rentabilité de l’élevage soit telle qu’elle puisse supporter encore et encore de telles pressions financières …
Bref du loup dans les grands espaces sans élevage tel qu’on les trouve en Asie, en Sibérie ….oui oui oui mais en France non seulement cela se discute …mais de plus cela se conteste* !
* : A moins que, de vous même…., vous vous mobilisiez…bénévolement pour assurer ce que vous proposez…,
Nous sommes nombreux à ne pas faire crédit à vos déclarations alarmistes qui n’alarment que celles et ceux qui sont loin, très loin de l’élevage voire opposés à celui-ci et qui ferment les yeux sur les conséquences « antinaturelles, antiecologiques que la présence de ce loup impose !…
Pour l’année 2021, chaque loup a coûté 54 000 euros à la collectivité.
Il y avait environ 620 individus.
Pour 2023, certains spécialistes parlent d’un coût variant entre 60 000 et 100 000 euros/loup. On en est à 1000 bêtes.
Demain, nos moutons resteront à la bergerie, à l’ auge avec de la nourriture importée et la brousse sera à nos portes.
Mais c’est déjà ce qui se passe toutes les nuits dans les zones où sévissent les loups.
Les éleveurs en période estivale, rassemblaient, jadis, leur troupeau pour la nuit et le clôturait par un banal grillage démontable et amovible…
C’est désormais du « dur » qu’il faut utiliser…. bâtit ancien désaffecté ou grottes, souvent dans des endroits en montagne où l’utilisation de paille et de machine pour évacuer le fumier est difficile voire impossible, alourdissant encore le coût de l’élevage tout en dégradant toujours plus les conditions d’hygiène…
Merci à ceux qui en veulent toujours plus … de réfléchir avant de prendre le micro!…
On peut également leur conseiller de consulter les archives, (il y en a dans chaque département…) et de se lancer dans ia recherche de tous les évènements mortels ou non que les loups provoquérent jadis et qui furent à l’origine de la décision de son extermination du territoire français.
Le Blaireau a parlé…
qu’en pense le petit chaperon rouge?????
Il aurait dû mieux voter.
Ce qui manque,
Ce qui manque…dites-vous ?
Cest….
Premièrement de la place
Deuxièmement de ia place
Troisièmement de la place …
Arrêtez de faire croire que le loup ait sa place dans une nature française où il n’y a plus assez de grands espaces sauvages…
Arrêtez de faire croire que près de 90 quarterons (1 par département) soit …pres de 360 salariés (c’est vous qui en assurez le financement ?….) régleraient le problème de la protection contre les nuisances de cette espèce…
Arrêtez de faire croire que la protection puisse être réglée par des mesures simples édictées par vos quarterons…
Vous savez très bien que ces mesures sont une escalade permanente avec des moyens de plus en plus conséquents des coûts de plus en plus importants et une quasi permanence des éleveurs et/ou de leurs salariés ( c’est vous, sains doute, qui assurez leurs salaires ?…) au milieu de leurs animaux…
Arrêtez de prendre les éleveurs de moutons, bovins, chevaux…pour des pantins à la merci des désiderata de citadins qui ne connaissent rien à rien de l’élevage…
Arrêtez de penser que le triste spectacle d’un troupeau décimé et massacré par un ou des loups n’affecte pas ce qui constitue la motivation quotidienne d’élever… de ces éleveurs de moutons, bovins, chevaux…
Arrêtez de laisser croire que tous ces loups dont vous parlez sont effectivement du genre « lupus » et non pas poir une proportion indéterminée mais non nulle, des hybrides de loup et de chien qui tombent alors sous certains couperets inexorables de la loi française…
Arrêtez de faire croire que les éleveurs sont indemnisés aussi facilement et rapidement que pour tout autre sinistre …
Est ce vous qui ramassez les cadavres ?
Est ce vous qui soignez ou euthanasiez ces animaux affreusement mutilés ?
Est ce vous qui passez votre temps d’expertise en expertise pour récupérer un peu d’indemnisation ?
Arrêtez de penser que la rentabilité de l’élevage soit telle qu’elle puisse supporter encore et encore de telles pressions financières …
Bref du loup dans les grands espaces sans élevage tel qu’on les trouve en Asie, en Sibérie ….oui oui oui mais en France non seulement cela se discute …mais de plus cela se conteste* !
* : A moins que, de vous même…., vous vous mobilisiez…bénévolement pour assurer ce que vous proposez…,
Nous sommes nombreux à ne pas faire crédit à vos déclarations alarmistes qui n’alarment que celles et ceux qui sont loin, très loin de l’élevage voire opposés à celui-ci et qui ferment les yeux sur les conséquences « antinaturelles, antiecologiques que la présence de ce loup impose !…
Pour l’année 2021, chaque loup a coûté 54 000 euros à la collectivité.
Il y avait environ 620 individus.
Pour 2023, certains spécialistes parlent d’un coût variant entre 60 000 et 100 000 euros/loup. On en est à 1000 bêtes.
Demain, nos moutons resteront à la bergerie, à l’ auge avec de la nourriture importée et la brousse sera à nos portes.
Mais c’est déjà ce qui se passe toutes les nuits dans les zones où sévissent les loups.
Les éleveurs en période estivale, rassemblaient, jadis, leur troupeau pour la nuit et le clôturait par un banal grillage démontable et amovible…
C’est désormais du « dur » qu’il faut utiliser…. bâtit ancien désaffecté ou grottes, souvent dans des endroits en montagne où l’utilisation de paille et de machine pour évacuer le fumier est difficile voire impossible, alourdissant encore le coût de l’élevage tout en dégradant toujours plus les conditions d’hygiène…
Merci à ceux qui en veulent toujours plus … de réfléchir avant de prendre le micro!…
On peut également leur conseiller de consulter les archives, (il y en a dans chaque département…) et de se lancer dans ia recherche de tous les évènements mortels ou non que les loups provoquérent jadis et qui furent à l’origine de la décision de son extermination du territoire français.
Moi je suis pour la réintroduction du dinosaure d’ailleurs je ne comprends pas pourquoi il n’y en a plus.